Suit la piste

Au bout d'un moment, durant le trajet pour se rendre au port de la ville, Evoli monte sur l'épaule d'Ondine. Ils finissent par arriver sur les lieux et là, Arsène lui demande où ils doivent chercher. La jeune fille sort alors de sa poche un carnet et un stylo avant de répondre : "Il y a pas mal de personnes qui travaillent ici. Il doit bien y avoir quelqu'un qui a vu quelque chose de louche dans les environs. Il suffit d'aller les voir et de les interroger".

Soudain, un homme étrange passe. Il ne semblait pas vouloir que l'on sache où il allait, comme s'il avait des choses à cacher. Ne perdant pas de temps, le jeune apprentie détective le suit.

Arsène hochait la tête, ayant l'air de son avis. C'est quand elle décide de suivre le mec louche qu'il comprendre qu'il est bien obligé de la suivre pour pouvoir la protéger. Après avoir marché un petit moment, l'homme arrive devant un stand aux allures macabres, comme s'il n'avait pas été utilisé depuis de très longues années. Poussiéreux et rongé par le temps, ce petit étalage avait l'air bien mystérieux. Un homme en sort en ayant l'air content. Lui aussi était habillé de sorte à ce que l'on ne le reconnaisse pas si jamasi il était vu de qui que ce soit d'autre que par son client.

- Alors ? T'a la marchandise ?

- Tu crois vraiment que je prendrais le risque de me dépalcer pour rien ? Tient il est là ! Un oeuf d'Embrilex Shiney. J'ai risqué ma vie pour l'avoir, mais comme je le dis toujours, le pognon donne des ailes et un courage d'héro et une force de titan !

- Je sais que tu ferais n'importe quoi pour 500.000 Pokédollars. Cependant n'oublie pas qu'une partie me revient de droit.

- Ouais, ouais je sais, on a un bon acheteur.

Arsène s'étant caché pour écouter la conversation sans se faire remarquer, eut l'air scandalisé en entendant ce que voulait faire les deux inconnus. Se contrôlant pour éviter que sa température corporelle augmente, il se demandait comment il était possible qu'un tel trafique illégal n'ait pas encore été démantelé. Le Pokémon partenaire du bandit eut soudainement les oreilles qui partirent dans tous les sens, un détail qui interpella son propriétaire.

- Y a quoi Nostenfer ? On nous écoute ?

Le Pokémon à l'oreille ultra fine avait remarqué la présence des deux jeunes malgré qu'ils ne faisaient pas de bruits. L'homem qui avait le Nostenfer et l'oeuf braconné était devenu nerveux. Il ne voulait pas se faire arrêter. C'était le même ressenti qu'avait l'autre homme derrière le stand. Depuis où il se trouvait, Arsène pu les voir déplacer le vieux stand se faire déplacer. Dessous il y avait un escalier. Le vieux stand n'étant vraiment pas lourd, fut remit à sa place en se faisant pousser depuis les escaliers car il y avait un trou creusé dasn le vieux bois afin que l'objet puisse être remit à sa place sans attirer les soupçons sur eux. Arsène en était persuadé, s'ils devaient commencer par un endroit pour retrouver les deux bandits, ils devaient commencer par cette piste.

Ondine suit l'homme étrange jusqu'à un stand. Là, elle se cache derrière une caisse pour l'observer et écouter sa conversation avec le teneur du stand. Apparemment, ils faisaient un trafic d'oeuf de pokémon, une chose interdite. Par contre, on dirait qu'ils se sont fait repérer par le nostenfer du bandit qui ne semblait pas du tout tranquille. Les bandits s'enfuirent alors par un escalier secret qui se trouvait sous le stand. Ondine quitte sa cachette et entre dans le stand pour descendre les escaliers en disant : "Il faut les suivre".

En entendant Ondine dire qu'il falalit les suivres, Arsène scruta l'endroit fixement. Il tentait vraiment de ne pas montrer qu'il avait peur d'aller dans les sous-sols, lieu où il allait lui être sans doute très difficle de rester zen et de ne pas montrer sa véritable identité. Toutefois, il hocha la tête en signe d'approbation et emprunta les escaliers. Après quelques minutes, ils arrivèrent dans un couloir peu éclairé, qui sentait l'humidité et un peu l'odeur de la mer. Au loin, il pouvait entendre des éclats de rire, comme si les deux lascars étaient satisfaits d'avoir obtenu ce qu'ils désiraient. Cependant, les jeunes gens n'avaient pas le choix, ils devaient rejoindre ces malfrats. Avançant en silence, Arsène n'entendait que la faible raisonannce de ses pas sur le sol. Plus ils avançaient, plus le couloir s'agrandissait et devenait lumineux. Au bout d'un moment, ils déboulèrent sur une hall, où beaucoup de bandits semblaient passer et comettre leurs crimes en toute tranquillité. Ils pouvaient galement voir que depuis la halle, il y avait pleins de tunnels, donannt l'impression que cette place était le coeur du labyrinthe.

"Je comprend mieux pourquoi il est dur de retrouver les agresseurs de ma plus fidèle cliente et que la vieille ne voulait pas que vous vous y rendiez toutes seules"

Disant ces mots de sorte à ce que seul les filels les entendes, Arsène avait l'impression de chercher une aiguilel dans une botte de foin. Bon, ils n'avaient pas trop le choix, ils allaient devoir se fondre parmi la masse de tous ces magouilleurs. Se demandant comment ils allaient se faire passer pour l'un d'entre eux. Après tout, il avait toujours fait tout pour être un bon garçon, à présent qu'il devait jouer le rôle du bad boy, il espérait y arriver sans que l'on ne découvre la supercherie.

- Tient v'la de la jeunese dans le coin ! Vous avez choisit le bon camp les gamins ! Hm... C'est étrange, ton visage me dit quelque chose...

Un voleur passant vers eux les salua en ayant la'ir content de voir des jeunes capable de continuer à faire le job à leur place une fois qu'ils seraient trop vieux pour voler. C'est en regardant très attentivement Arsène qu'il se met à avoir un regard interrogateur, disant l'avoir déjà vu.

"Ah... Vous savez... Vous n'êtes pas le premier à me le dire ! Je suis une vedette du vandalisme dans la ville où je sévis. On m'appelle la tornade parce que mes victimes n'ont pas le temps de me voir arriver !"

Esseyant de se créer un rôle, Arsène mit beaucoup de coeur dans sa prestation. L'homme en l'écoutant eut l'air de le croire avant de se mettre à rire. Se demandant ce qu'il avait dit de drôle, l'homme sort de sa pochet un carnet plié et le feuillette avant de montrer une page aux jeunes gens.

- Dessus il y a tout ce qui est activement recherché par les gars de chez nous quand quelqu'un s'amuse à publier une annonce. ça c'est la page des gens recherchés et je crois bien que t'es pas tombé au bon endroit mon p'tit gars.

Arsène écouta l'homme lui raconter sa vie tout en parcourant brièvement la page. Au même moment où il dit sa dernière phrase, Arsène tomba nez à nez avec sa photo et celel de sa soeur ainsi que des quatre photos des autres expéreince du docteur Tony. Arsène ne savait plus où se mettre, il était perdu. Soudain, l'homme enlève son manteau et le lui jete à la figure.

- je ne sais pas ce que vous chercher les deux, mais moi je m'en fou de toi, j'ai tout ce qu'il me faut avec mon trafique. ici les mecs à capuche ne sont pas suspect donc personne ne fera attention à toi.

Arsène ne disait plus rien, se disant que c'était un miracle qu'en entrant ici il n'ait pas eut plus de problèmes. Il enfila le manteau en ayant l'air de ne pas se sentir très bien. Savoir que sa soeur et lui étaient en danger le perturbait, de plus, il se demandait comment il était possible que depuis tout ce temps avec un tel réseau personne n'avait encore osé s'approcher de lui. Est-ce que cela avait-il déjà été le cas et qu'il ne l'avait pas reamrqué ? En tout cas à présent il comprenait pourquoi sa soeur avait disparut.

Après qu'Ondine a descendu les escaliers, elle se retrouve dans les sous-sols du port qui sentaient assez mauvais. Ils pouvaient entendre les hommes louches rire un peu plus loin. Au bout de plusieurs minutes de marches, ils arrivent dans une salle où se réunissait différents bandits. Arsène fait un commentaire sur ce qu'ils venaient de trouver. Ondine dit alors : "Et je ne serais pas surprise qu'ils soient ici. Mais visiblement, il n'y a pas qu'eux. Cet endroit est le lieu de réunion de la plupart des criminels de la ville".

Soudain, un homme les interpelle, les prenant pour l'un d'entre eux. Puis, il semble intrigué par Arsène qui joue le jeu, mais Ondine trouvait qu'il en faisait un peu trop, du coup, elle lève les yeux en l'air en signe d'exaspération. L'homme leur montre les pages d'un carnet où il y avait une photo d'Arsène. Ondine lance un regard au coin vers le jeune garçon, se demandant qui il pouvait être pour être si recherché. L'homme lui passe un manteau pour qu'il dissimule son visage, Ondine lui saisit le bras et l'emmène hors de la vue de tous.

"J'ai droit à quelques explications, je crois".

Evoli hoche la tête.

Après qu'Ondine a emmené Arsène à part pour demander des explications. Il se met à dire qu'il n'était pas au courant. La jeune fille aux cheveux bleus réplique alors : "Pas au courant que vous avez un avis de recherche avec votre tête dessus? Laissez-moi en douter un peu".

Il finit par dire que si elle lui promet de ne rien dire, il pourra tout lui expliquer. Ondine hausse un sourcil avant de répondre : "Heu...tout dépend si vous êtes un criminel dangereux ou pas".

Il finit par tendre sa main vers lui et il enflamme alors ses doigts. Cela surprend la jeune apprentie détective qui écarquille les yeux. Ensuite, elle tourne sa tête vers Evoli qui était aussi surprise qu'elle. Le garçon ajoute qu'il n'était pas un humain. Cela faisait bizarre à la jeune fille qui avait, elle aussi, des pouvoirs, mais n'avait jamais su pourquoi. Si elle était comme lui, est-ce qu'elle n'était pas humaine également? Elle devait en savoir plus.

"Comment ça pas humain? Et quel est le rapport avec ses affiches?"

HRP-Je ne sais pas ce qu'il s'est passé, je suis certaine d'avoir écrit et poster mon RP, mais il a dû y avoir un bug-HRP

Après qu'Arsène a compris qu'Ondine aussi était une humon, il dit que quand ils se sont croisés, il avait senti en elle une énergie similaire à la sienne. Qu'il n'avait pas osé en parler parce qu'il avait peur de ne pas être compris. Ondine roule des yeux et ne pouvait s'empêcher de demander : "Vraiment? Et c'était avant ou après m'avoir fait tomber et pas calculer?"

Il avoue ne pas savoir ce qu'il devait ressentir, mais qu'ils n'avaient pas besoin de se cacher ce qu'ils étaient. Il lui demande ensuite ce qu'elle savait faire. Ondine regarde autour d'elle et en voyant tous les criminels, il n'était pas question pour elle de dire quoi que ce soit si jamais on les écoutait. Elle se contente de dire : "Ce n'est ni le lieu, ni le moment pour ce genre de confidence. On a des criminels à retrouver".

Elle tourne alors les talons pour retourner dans le hall et chercher les agresseurs de la jeune fille.

HS : Pauvre Ondine. L'importance c'est que tu ais quand même réussi à poster ton rp ^^

Arsène pensait que cette histoire de bousculade était terminée, mais on dirait bien que non. Ondine semblait avoir la rancune bien tenace, un trait de caractère qui n'allait pas être simple à gérer, tant pis, il allait faire avec. Etant tout de même un peu gêné qu'elle lui parle de leur première rencontre, il prend tout de même la peine de lui répondre.

"Peu de temps après. Je ne sais pas si un jour vous me pardonnerez... Comme je vous l'ai déjà dit, je suis obligé d'avoir ce genre d'attitude pour paraître le moins suspect possible, quitte à passer pour un sale type, sauf quand je rencontre un Pokémon, ce qui fait remonter à la surface ma véritable personnalité"

Est-ce qu'elle allait enfin comprendre ? Va savoir... Quoiqu'il en soit, il lui avait tout dit, il n'avait plus rien à lui cacher. Malheurusement, ce n'était pas le cas de la miss, qui préféra s'en aller en prétextatn qu'il fallait continuer l'enquête et que le lieu n'était pas adapté pour ce genre de conversation. Restant seul avec Evoli, il scruta l'amie d'Ondine avec un regard étonné.

"C'est moi où elle a encore plus peur que moi de montrer qui elle est vraiment ? En tout cas c'est pas cool. Je lui ais tout dit pour qu'il n'y ait plus de secret entre nous et elle, elle se casse sans répondre... Pff... Bon tant pis."

Cela se ressentait dans sa voix qu'il était déçu. Toutefois, il ne semblait pas lui en vouloir. Après avoir bien soupiré, il se ressaisit et se relève en remettant bien sur lui la capuche, ne voulant pas se faire repérer. Suivant Ondine comme son ombre, il faisait tout pour en devenir une, ne voulant pas lui attirer des ennuis. Pendant ce temps, l'inconnu qui avait filé le manteau à Arsène, semblait être content. Il s'estimait avoir eut une chance de incroyable de tomber sur l'un des sujets que recherchait son patron. Ayant toujours sur la main un traceur au cas où il retrouverait les créations de ce fou de Tony, il avait bien fait exprès de jouer au gentil, à l'homme qui n'avait rien à perdre sans que les gamins ne se rendent compte de rien. Lorsqu'ils se retrouveraient dans un lieu plus au calme, il pourrait agir et peut-être même être augemnté. Le plus dur était à présent de trouver une excuse pour leur prochaine rencontre. Arsène, de son côté, continuait de suivre les filles, ne se doutant pas un seul instant qu'il y avait un mouchard caché dans l'une des poches fermées du manteau salvateur.

"D'après vous, c'est mieux de se lasiser aborder ou d'interroger quelqu'un au hasard ? Quelle est la meilleure stratégie pour retrouver quelqu'un qui puisse nous dire les bonnes infos pour retrouver nos deux lascars ?"

Sa voix était de nouveau devenue sérieuse. Il chuchotait pour qu'Ondine et Evoli soient les seules à entendre ce qu'il avait à leur dire. Sa manière de s'exprimer et sa posture indiquaient qu'il était redevenu l'Arsène de la première rencontre. Hé oui, il ne plaisantait pas quand il disait être obligé de bien se tenir. A sa manière de se comporter, il passait plutôt bien au milieu de tous ces bandits.

Quand Ondine lui fait une réflexion sur le fait qu'il l'a faite tomber sans faire attention à elle, il dit qu'il est obligé d'avoir cette attitude pour paraître moins suspect. Ondine lui répond : "Ce genre d'attitude ne vous rend pas moins suspect, au contraire. Vous savez que les voleurs bousculent les gens pour leur piquer leurs affaires avant de se barrer sans s'excuse aussi?"

Quand il cherche à en savoir plus sur ses capacités, Ondine décide de ne pas s'y attarder et se recentrer sur l'enquête. Alors qu'elle avançait, Évoli allait la suivre, mais le jeune garçon l'interroge et lui confie son ressenti. Le pokémon le regarde et lui répond : "Je te rappelle qu'on est au milieu de plusieurs bandits qui semblent t'avoir remarqué. Il est normal qu'elle se montre prudente".

Elle part alors à la suite de son amie. Ondine regarde autour d'elle avant qu'Arsène lui demande la manière à procéder. Ondine répond : "Le mieux est d'aborder pour se fondre dans la masse".

Soudain, un Feunard s'assit juste devant elle en prenant la parole. Là, elle panique, le trouvant inconscient de donner son grade dans ce QG rempli de bandits. Rapidement, elle le saisit par le collier et le tire jusqu'à sous une table couverte par une nappe.

"Non, mais ça ne va pas de t'afficher comme ça? Tu n'as pas vu qu'on est au milieu de plusieurs criminel et que je suis en pleine enquête?"

Quand Ondine lui dit à quoi son attitude lui faisait penser, Arsène eut comme une sorte de bug. Ne comprenant pas trop de quoi elle parlait. Restant figé sur place quelques secondes avec un air ahurit, il n'était pas dur de constater que pas à un seul instant il n'avait pensé à une telle chose. Quand il se remet à bouger, il se met à scruter la jeune fille avec un regard interloqué.

"Vous esseayez de me faire passer pour quelle genre de personne ? J'ai aucune de ces idées en tête ! Faudrait être sacrément taré pour profiter d'une jeune fille !"

Posant cette question en étant presque choqué qu'elle lui tienne de tels propos, il se demandait en même temps s'il avait vraiment envie de connaître la réponse. Lorsqu'Evoli lui répond, il soupira à nouveau et quand Ondine lui répond, il hocha la tête, confirmant ses dires. Quelques secondes après, un Feunard arriva et s'assit devant Ondine.

"Wow un Feunard ! Trop beau !"

Bien qu'il faisait de son mieux pour ne pas mettre trop de sentiments qui pourraient activer ses compétences dont il se donnait tant de mal à cacher, il ne pouvait s'empêcher de s'extasier à chaque fois qu'il voyait un Pokémon et en plus, il était dur de ne pas penser autrement de ce magnifique renard à neuf queues. Peu de temps après être apaprut, le Pokémon se met à s'adresser à Ondine. Arsène n'eut même pas le temps de lui dire qu'il s'exposait à de gros risques en venant à découvert dans un lieu aussi dangeureux, il n'en eut pas le temps parce qu'Ondine se met à tirer le pauvre Pixel en le tenant par son collier comme s'il s'agissait d'une peluche.

"Doucement espèce de brute ! Il ne fait que son travail"

Tentant de dire cette phrase avec le plus de neutralité possible pour éviter qu'on ne les remarque davantage, il pu apercevoir la fille aux cheveux bleus mettre le Pokémon en sécurité sous une table. Enfin sécurité, c'était vite dit vu comme elle l'avait traîné. Ce genre de scène ne semblait pas être passé inaperçue car un loubard vint vers eux avec un regard intéressé.

- Je crois avoir vu passer un Feunard bien décoré. Il est passé où ?

"Ah je suis vraiment désolé, j'étais très occupé à préparer un nouveau plan pour un prochain vol de Pokémon que je n'ai rien vu passer."

- Hé bien, il doit être sacrément complexe ton vol pour qu'il t'empêche de voir un Pokémon passer. T'es sûr que tu ne me caches rien ?

"Tout ce que je cache ici c'est mon visage devenu immonde à cause de mes larcins qui ne voulaient pas se laiser faire, inutile de regarder, ça évitera les cauchemars"

- Ahaha toi t'es un mararnt ! Ok ! Bon si tu le vois passer, prévient-moi. Bye !

Arsène, s'étant mit bien devant la table pour être vraiment certain que le mec ne regarde pas dessous, était en train de raconter n'importe quoi à ce type, qui semblait être assez bête pour croire à son histoire, qu'il venait à peine d'inventer pour être certain que le nouveau venu ait la paix. Faisnt rire son interlocuteur, Arsène se met à songer qu'il commençait à être doué pour s'inventer une vie, songeant presque à arrêter de livrer des pizzas pour faire du théa^tre. Enfin bref, une fois que le sale type fut loin, il eut l'air soulagé. C'est uen fois qu'il fut bien loin qu'arsène se senti aussi bête que cet inconnu parce qu'il venait de se rendre compte que dans la précipitation, il avait oublié de lui poser des questions. Bon, bah tant pis... Se disant que la prochaine personne qui passerait un peu trop prêt pour lui parler du Feunard aurait droit à un interrogatoire, il se met également à espérer qu'Ondine n'allait pas trop lui en vouloir d'avoir rater une si belle occasion et qu'elle trouverait une solution pour règler le problème du nouveau venu.

Quand le garçon semble prendre mal ce qu'Ondine venait de lui dire, elle roule des yeux, trouvant ridicule qu'il prenne cela à coeur alors qu'elle voulait juste lui faire comprendre que son attitude ne rendit pas moins suspect. Elle dit alors : "J'ai pas dit ça, j'ai juste dit que le fait que vous agissez comme un rustre ne rendait pas moins suspect et louche".

Quand Ondine décide de reprendre l'enquête, Arsène fait un commentaire à Evoli qui lui répond pour expliquer l'attitude d'Ondine qui était qu'ils s'étaient un peu faits remarquer par sa faute. Après être retournée dans la salle, Arsène lui demande la manière dont ils procèdent, Ondine propose d'aborder les bandits pour se fondre un peu mieux. Puis, un feunard, portant une insigne de policier à son cou et se présente carrément comme un membre des forces de l'ordre. Rapidement, la jeune fille le saisi par le collier, ignorant les protestations d'Arsène. Le feunard se met à la gronder. Ondine le sermonne de se montrer devant plusieurs bandits, mais il montre bien qu'il s'en moquait, sortant de leur cachette et tenant à la protéger apparemment à la demande de Baker.

"T'es sérieux? Parce que tu crois que si je me montre au côté d'un pokémon de la police qui ne prend pas la peine de cacher ses badges, je vais être en sécurité? Je suis en pleine enquête et j'essaie de me montrer discrète pour arrêter des criminels qui ont agressé une femme. Et la dernière piste m'a amené ici. Mais puisque tu refuses de comprendre que tu me gênes dans mon enquête et que tu sors de notre cachette, je vais devoir improviser".

Rapidement, elle fait monter Evoli sur son épaule et sort de sous la table en criant : "Au secour! Il y a un flic qui est après moi!"

Après avoir remballé le loubard, Arsène avait ouvert l'oeil pour éviter que l'on ne vienne déranger le trio. En balayant l'endroit de ses deux prunelles, Arsène remarqua deux silhouetes qui ne lui étaient pas inconnues. Ils semblaient s'amuser, comme s'ils préparaient un mauvais coup. Les voyant s'arrêter à un stand, Arsène ne réfléchit pas et planta Ondine où elle était, ne voulant pas perdre sa chance de pouvoir sympathiser avec les deux brutes qui avaient traumatisé la pauvre Sally et qu'Ondine voulait à tout prix coincer. Arsène les avait reconnus parce qu'il s'était frotté à eux, mais peut-être que sous son déguisement, ils ne découvriraient pas le pot-aux-roses. Les pensant pas très malin, Arsène pensait pouvoir gérer tout seul la situation. S'approchant des deux frangins, il tenta une voix plus grave pour maximiser ses chances de ne pas être reconnu.

"Vous avez l'air indécis. Voulez-vous l'avis d'un expert de pierres précieuses ?"

Alors que son intervention semblait interloquer les deux gars et les amuser, Arsène ne se rendait pas compte qu'il s'agissait d'un stand à Gemmes Sesames, des pierres permettant de faireMéga-Evoluer un Pokémon. Voulant faire son show, il en prit une au hasard et c'est à ce moment précis qu'Ondine crie qu'il y avait un flic dans les parages. Certains bandis s'en allèrent en détallant comme des Lockins, les autres, restèrent en ayant l'air d'être prêt à faire la peau à ce sale flic. L'un des deux agresseurs lança un regard sauvage à Arsène.

- J'espère que t'es aussi expert en baston parce qu'on ne va pas rester là sans rien faire !

- Ouais ! On va le retrouver et le tuer ! Normalement aucun flic n'est sensé rentrer ici alors dès qu'on met la main sur lui, c'est und homme mort ! Renchérit son frère en ayant l'air de ne pas plaisanter.

"Moi à part arnaquer des civils naïfs, je ne suis qu'amour et pureté, je n'ai jamais cogné quelqu'un de ma vie !"

- Oui bah si tu veux t'intégrer dans al bande va falloir que tu apprennes à cogner mauviette !

Oh ? Il venait d'avoir une ouverture ?! Super ! Arsène était content que son improvisation fonctionne dans son sens. Moins ils se méfieraient d elui, plus il était sûr de pouvoir les mener par le bout du nez et pouvoir les manipuler afin de pouvoir les arrêter au moment voulu. C'était la premirèe fois qu'Arsène avait un rôle aussi important. D'un côté, il devait cacher sa véritalbe personnalité afin de ne pas s'attirer d'ennuis et d'un autre, il devait faire une misison d'infiltration alors qu'à la base, il ne livrait que des pizzas. Se demandant où cette histoire allait le mener, il n'avait même pas remarqué que par réflexe, il avait mit la pierre dans son manteau au lieu de la reposer à sa place et à cause de la cohue, même le vendeur ne semblait pas avoir remarqué sa disparition

HRP-Désolée du retard, j'ai été pas mal occupée-HRP

Après avoir hurlé qu'un flic en avait après elle, certains bandits ne traînent pas et s'en vont rapidement tandis que d'autres voulaient en découdre. Ondine profite de la cohue pour s'en aller loin du feunard sans se faire voir. Evoli se tenait sur son épaule et n'aimait pas trop se faire secouer, mais elle savait qu'elle n'avait pas vraiment le choix. Ondine se cache dans une sorte de bouche d'aération. La jeune fille aux cheveux bleus l'ouvre et entre dedans avec son compagnon.

Arsène regardait la scène en étant plutôt impressionné par la bêtise des hommes et la force de ce Feunard. Il n'était pas devenu un haut gradé par hasard. Il était intelligent, rapide et surtout très doué dans la protection d'autrui, ce qui c'était clairement ressenti durant la bagarre. Après tout, personne n'était blessé à part ceux qui l'avaient agressé et encore, ils n'avaient pas l'air trop traumatisés. A présent que les choses avaient été mises au clair, même les frangins qu'Ondine et Arsène devaient arrêter, semblaient ne plus avoir envie de l'éliminer, ce qui étit plutôt une bonen chose.

"On peu dire que même dans les bas fond de la ville, la police est efficace"

Faisant cette réflexion avec une voix neutre et son légèrement plus grave pour dissimuler les soupsçons qu'ils pouvaient avoir à son sujet. Cependant, son commentaire n'eut pas l'air de plaire car l'un des frangins le scruta de haut en ayant une mine sinistre.

- Et tu trouves que c'est le moment de faire de l'humour ? D'ailleurs, puisque tu fais de l'esprit, tu pourrais aller le combattre pour voir si c'est toujours aussi drôle de se frotter à la police ! En plus, il est où ton Pokémon ? Y a rien qui montre que tu en as un, c'est louche !

Arsène se rendait bien compte que le gars n'avait pas aimé sa blague. Malgré le fait qu'il faisait de son mieux pour ne pas laisser ses émotions prendre le dssus sur son corps, ne voulant pas que la colère dicte ses actes et que sa véritable identité prenne le dessus et lui crée des ennuis. Se maîtrisant de peu car il n'avait pas aimé la manière dont ce type lui avait parlé, Arsène réussi à reprendre la parole.

"C'est bien parce que je suis une mauviette que je ne vais pas l'affronter. Mon Pokémon ? Je l'ai laissé se noyer dans un canal, il ne me servait à rien, c'était un sacré boulet ce pleurnichard"

Arène esseyait de ne pas le montrer, mais il était très étonné de réussir à sortir des horreurs de la sorte avec un ton si natuel. Après tout, n'étais-ce pas ce genre d'histoires sordides qu'ils voulaient entendre ? Faisnt de son mieux pour éviter de montrer qu'il se sentait mal à l'aise rien qu'à cette pensée, se disant mentalement qu'il fallait être un grand malade pour faire quelque chose de si grave. Après son récit, les frangins se mirent à rire, comme s'il venait de raconter une nouvelle blague. Arsène eut du mal à cacher le faitq u'il était choqué par cette réactio, bienq ue veannt de deux mecs qui avaient agressé une jeune fille sans défense, cela ne devrait pas le surprendre.

- Ah ouais ! En faites tu fais genre que t'es un mec bien quand ça t'arrange alors qu'en réalité t'es une crapule tout comme nous ! Tu plairais sûrement à père, je suis certain que ton oeil avisé pour les bonnes affaires et ton jeu d'acteur pourrait lui être utile. C'est un homme assez influent qui pourrait te rendre riche et célèbre, pas comme ces nazes qui tentent ce qu'ils peuvent pour s'en sortir.

En entendant la proposition du garçon, Arsène resta figé sur place. Il ne pouvait pas accepté. Tous ces bandits voulaient le chopper pour toucher la récompense, travailler pour eux était se jeter dans la gueule du Lougaroc. Toutefois, décliner l'invitation pourrait lui causer des tords, voir même le freiner dans sa mission. Lorsqu'il eut retrouvé ses esprits, il fit un pas de coté, faisant mine de regarder dans tous les sens, se rendant alors compte qu'Ondine était introuvable, ce qui avait de quoi lui mettre un stresse supplémentaire.

"Sans la demoiselle que recherche ce Feunard, je ne peux pas vous donner une réponse convenable. C'est quelqu'un de très important à mes yeux, enfin elle l'était... A présent que je sais qu'elle est protégée par un policier, notre relation va drastiquement changer... Par contre j'aimerais tout de même savoir ce qu'elle en pense avant de vous donner une réponse. Est-ce qu'il y a une adresse où je peux vous joindre ?"

Après avoir tenté de donner une réponse approximative, Arsène se prit un coup de poing de la part du plus baraqué des deux frères. Le coup de poing arriva comme un boulet de canon. Normalement, avec ce genre de coup, il aurait normalement dû finir aux urgences, voir même, il aurrait pu y laisser sa peau. Au lieu de ça, le pauvre Arsène tomba juste évanuit par terre.

- Je sais qu'il nous a manqué de respect en ne nous répondant pas tout de suite, mais là tu aurais pu le tuer espèce de crétin ! Tient, c'est bizarre... Pourquoi il ne saigne pas ? Il n'a rien de cassé alors que d'habitude tes coups de poings sont destructeurs ! Tu crois que c'est ce qu'on recherche ?

- Ouais... Et je commence à me dire qu'on aurait dû le chopepr dès qu'on l'a vu dans la rue... On va l'apporter à papa, il saura ce qu'il faut faire.

Après s'être énervé sur son frère, le gaillard releva légèrement la capuche d'Arsène et en voyant son visage, il se met à comrendre à qui ils avaient à faire. L'autre, le costaud, décida de récupérer l'expérience et de le porter comme un sac sur ses éaules. On pouvait donc dire qu'Arsène était en train de se faire enlever contre son gré juste parce que ces deux nigauds avaient réussi à faire enfin fonctionner leurs cerveaux.

Alors qu'elle était dans la bouche d'aération avec son amie, elle pouvait entendre le feunard policier prétend qu'il pourrait la retrouver avec son odorat. Ondine affiche un sourire au coin avant de dire doucement : "Attend un peu mon gaillard, tu ne feras pas longtemps le malin".

Elle ferme les yeux et se concentre. Des nuages se forment dans la pièce et de la pluie se met à tomber. La jeune fille doute alors que le pokémon puisse remonter sa piste à présent. Pour s'en assurant, elle change son corps en flaque d'eau avant de glisser à travers les bouches d'aération. C'est alors qu'elle voit Arsène se fait emporter par une grosse brute. Elle jure avant de décider d'intervenir.

"Ne bouge pas d'ici, Evoli".

Ondine passe à travers la grille de la bouche d'aération et prend la forme d'une silhouette aqueuse, ainsi, on ne voyait pas son visage et ses vêtements. Elle se met juste devant l'homme.

"Tu vas quelque part avec ce garçon?"

Sans attendre, elle transforme son bras en tentacule d'eau, se saisit de la jambe du mec et le soulève, le mettant la tête en bas.

Alors que personne ne s'y attendait, de la pluie commence à se déverser dans le sous-sol, ce qui eut l'air d'intriguer tout le monde. Lorsqu'Ondine apparaît sous une forme de silhouette d'eau, les brigands ne comprenennt pas trop ce qu'il était en train de se passer. Certains avaient l'air effreyés, d'autres intéressés, voir même amusés par ce qu'il se passait, mais en ce qui concernait les deux brutes qu'Ondine et Arsène voulaient coincer, celui qui se fait attraper par Ondine semblait être mal à l'aise, n'ayant pas l'air de comprendre ce qu'il lui arrivait. Sous le choc, il lâcha Arsène. Le principal intéressé tomba de tout son long par terre, ne semblant pas se réveiller pour autant, donnant ainsi l'impression qu'il avait décidé de faire une sieste au milieu du hall.

- Hé ! C'est quoi ce délire ? Il sait aussi invoqeur des créatures aquatiques ? C'est vraiment incroyable !

- Arrête d'avoir l'air fasciné crétin et donne-lui un coup, ça fera sûrement disparaître ce truc !

- Ah ouais ! Pas bête !

Celui qui avait la tête à l'envers semblait crier un peu lorsqu'il demanda à son frère d'agir en lui donnant une idée. L'autre rigolo se concentra pour ne pas rater son coup et lorsqu'il voulu écraser la main d'Arsène pour obtenir une réaction de sa part et ainsi tout arranger grâce à la violence. Malheureusement, au moment même où il voulu porter son coup, le brss du jeuen homme bougea un peu et au lieu de lui péter la main, il la lui effleura. Touchant son corps devenu un peu plus chaud qu'avant, ce sale type pu voir sa chaussure se calciner en ayant soudainement très chaud au pied, se mettant à sautilelr sur place.

- C'est pas le moment de divertir la foule !

- J'y peux rien ce garçon est un véritable monstre ! Il m'a cramé ma chaussure ! Je comprend mieux pourquoi celui qui le recherche donne 50000Pokédollars pour sa capture, c'est une erreur de la nature qu'il vaut mieux enfermer pour éviter d'avoir des ennuis avec !

- Bien parlé frangin, mais fait-moi descendre !

- Ok, ok arrête de t'impatienter ! Je viens te sauver !

La fripouille suspendue par Ondine se faisait du souci tandis que son frangin se plaiganit. Dès que la douleur de la brûlure eut passée, il envoya son Pokémon attaquer Ondine. Son Nidoking arriva à la rescousse, prêt à en découdre avec Ondine, d'ailleurs la première chose qu'il fit comme action fut de foncer sur elle pour qu'elle lâche le frère de son propriétaire.

Ondine trouvait le duo de bandits totalement ridicules à se débattre et à chercher à accuser l'autre. L'un des hommes fait appel à un nidoking, mais Ondine ne se laisse pas impressionner. Elle se tient prête à se défendre. C'est alors que le feunard intervient pour la défendre. Alors qu'il parlait avec les bandits, Ondine relâche l'homme, prend Arsène et disparaît avec lui dans les égouts, se changeant en flaque d'eau. Un mur d'eau se forme derrière elle pour empêcher le policier ou quiconque de la suivre. Sans que personne ne la voit, elle sort des égouts pour retourner sur le sol du port. Là, elle crée une boule d'eau et la jette au visage d'Arsène pour le réveiller en disant : "Debout, ce n'est pas l'heure de dormir".

HRP-Pixel m'a dit que je pouvais passer son tour-HRP

Après qu'Ondine a envoyé de l'eau sur le visage d'Arsène, il finit par sortir de son inconscience, mais il ne semblait pas en forme pour autant. Il paraissait même un peu confus. Ondine dit : "Disons que les bandits on faillit t'embarquer".

Arsène finit par se relever avant de l'interroger pour le pokemon policier qui les avait rejoints avant de se chercher à se justifier sur ce qu'il avait raconté à ses agresseurs. Des choses que la fille aux cheveux bleus n'avait pas du tout entendu. Elle finit par répondre : "J'étais tellement occupée à me cacher pour que ce flic imprudent ne me retrouve pas que je n'ai rien entendu. Apparemment, mon patron, Baker, l'aurait envoyé pour me protéger. Chose qui est ridicule parce que je n'ai pas besoin de protection. En plus de cela, il a fallu qu'il m'envoie le policier le moins discret alors que je suis en pleine enquête. Non, mais y a pas idée de se balader au milieu de bandit avec un badge qui était bien à la vue de tous. Et quand je me cache pour lui faire comprendre que je dois me faire discrète, il ressort et me fait comprendre qu'il se moque de gâcher mon enquête".

Pendant ce temps, dans les sous-sols, les murs d'eau finissent par disparaître, laissant le passage grand ouvert.

En entendant Ondine dire qu'il avait faillit se faire embarquer, Arsène eut l'air très inquiet. Ses premières pensées furent pour sa grand-mère. Il avait peur que quelqu'un s'en prenne à elle. Dès qu'il entend la raison pour laquelle elle avait fuit le Feunard. Dans un sens, elle n'avait pas tord. Toutefois, il ne pouvait s'empêcher de penser au Pokémon qu'elle avait sûrement laissé en arrière juste parce qu'il ne comprenait pas ce que voulait Ondine.

"Je comprend mieux à présent pourquoi vous avez réagit de la sorte. Hm... Je suis désolé, je crois que j'ai aussi ma part de responssabilité dans la réussite de cette enquête."

¨Il avait l'air terriblement désolé, se sentant coupable. Il soupira, se disant que s'il s'était lâché, Ondine n'aurait pas eut à fuir ce repaire. Cependant, il ne pouvait pas revenir en arrière. C'est ensuite qu'il réalisa qu'il ne pleuvait pas et qu'Ondine n'avait pas de sceau d'eau avec elle et vu où ils étaient situés, elle ne pouvait pas utiliser l'eau du port pour le réveiller, ce qui le fait se rendre compte qu'il venait de découvrir ce qu'était les pouvoirs d'Ondine.

"Vos pouvoirs... Ils vienent du monde aquatique ! Heureusement que nous n'avons pas eut encore un gros désaccord car un affrontement contre vous me donnerait peut de chance de le remporter vu que mon corps n'aime pas du tout cet élément"

Il eut un petit sourire, comprenant la raison pour laquelle ils se chamaillaient de temps en temps. Le feu n'étant pas du tout copain avec l'eau, il était normal que des fois il y ait des tensions, mais vu qu'elle l'avait sauvé, on pouvait donc constater qu'il était possible que ces deux éléments puissent s'entendre et s'apprécier.

"Je suis désolé, il est tard, il faut que je rentre chez moi sinon ma grand-mère va rameuter tous les agents de police disponibles pour me retrouver. Je vais devoir lui raconter la raison pour laquelle je rentre si tard, mais ne vous en faites pas, je garderais votre secret pour moi. J'espère qu'on va se revoir et surtout que vous finirez par coincer ces malfrats"

Arsène émit un petit rire gêné en parlant de sa grand-mère qui était toujours très inquiète pour son petit-fils. C'est ensuite qu'il a l'air très sérieux lorsqu'il raconte à Ondine ce qu'il allait faire une fois arrivé à la maison. Ceci étant dit, il scruta Ondine avec un regard intense, comme s'il n'avait pas envie de partir. Du côté des sous-sols, dès que le mur d'eau eut disparut, certains bandits empruntèrent le passage, ayant l'air de vouloir retrouver les deux jeunes gens.